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mardi 5 décembre 2017

Les associations veulent changer les lois. C'est un PIEGE MORTEL pour les consommateurs.



Par Gérard Faure-Kapper


Il y a un problèmes, les tarifs sont trop élevés ? "Il faut changer les lois". La charge est trop importante pour les clients ? "Il faut changer les lois !". Les banques abusent ? "Il faut changer les lois !"


Voilà ce que répètent tel des perroquets, toutes les associations soi-disant de protecction des consommateurs avec le relais complaisant de toute la presse, propriété des banques.


Il s'avère que ces responsables d'associations inconscientes ont tous un point commun: ce sont des juristes qui ignorent tout des techniques bancaires.

Les banques se frottent les mains et sabrent le champagne.


Elles invitent ces associations d'innocents patentés à "s'assoir autour de la table des négociations".

Et puis les lois sont automatiquement enregistré à l'assemblée qui tient lieu de secrétariat du système bancaire.

Ensuite, ce sont les annonces sur BFMTV et "Le Parisien".



Toutes les annonces commencent avec les mêmes justificatifs:

"Afin de venir en aide aux plus fragiles d'entre nous...."

"En accord avec les principales associations représentatives..."

"Dans un souci de complète transparence..."

"Pour donne un parfaite information..."

"Dans le but d'améliorer les services..."



Et puis on envoie les responsables des associations sur les plateaux de télé. Ils vont vous expliquer que, grace à leurs interventions, la vie est plus belle pour les plus fragiles d'entre nous.


Ce que l'on ne voit pas, ce sont les banquiers qui sont écroulés de rire.

Voici un florilège de textes qui sont passés "suite à l'intervention des associations représentatives.


Un médiateur sera obligatoirement nommé pour chaque banque.

Résultat: le médiateur est nommé par la banque. Donc c'est quelqu'un de sûr. C'est un juriste, donc il sera incapable de mener une analyse technique, donc de tenir compte des faits. Il ne sera saisi qu'après les réponses négatives de la banque. Donc celle-ci est au courant. Il demande le dossier complet. Ainsi, il le communique à la banque qui transmettra à son avocat. Il demande 3 mois de délais. Le délais légale pour virer un client est de 2 mois. Donc la banque à le temps de se protéger.


Le client doit être informé par courrier d'une écriture qui se présente sans provision.

Résultat: C'est une obligation légale pour les banques. Donc elles peuvent facturer. La lettre leur coûte 1€ maximum et tout est automatisé, mais la loi permet à la banque de facturer au maximum 3 fois le prix d'un recommandé. Ces lettres sont donc facturées en moyenne 15€. De plus, étant donné que la banque doit attendre la réaction du client, elle va facturer des "frais de mise en attente" d'un montant moyen de 10€.


Les frais doivent être regroupés en une seule facture.

Avant, les commissions d'intervention étant facturées en même temps que chaque écriture, il était assez simple de rapprocher l'intervention d'une augmentation de découvert. maintenant, c'est une facture mensuelle. L'établissement des preuves est beaucoup plus complexe à établir puisque le rapprochement nécessite des investigations encore plus approfondies.


Les frais sont limités à 80€ par mois.

Avec la mesure précédente, il n'y a plus qu'une seule facture mensuelle de 80€ systématique. Avec les frais de lettres, le manque à gagner est très largement compensé. De plus, c'est une tentative pour les associations collaboratrices, de faire légaliser ces frais.


Par contre, "les plus fragiles" ne seront taxés que de 20€.

Les plus fragiles, ils sont virés systématiquement des banques, ils n'ont pas de chéquier et une carte Electron qui les autorise à retirer 300€ par semaine. Ils n'ont pas de découvert ni de crédit. Donc ils ne sont pas concernés.


Et il y a d'autres exemples.



Quelle est la situation actuelle ? Les associations agréées par les banques continuent de réclamer des changements de loi.

Les banques préparent des textes pour aller encore plus loin dans le racket des clients.

Tout en présentant cela comme une avancée pour les "plus fragiles".


Et les associations ? Elles sont bien contentes. Je pense qu'elles doivent aimer ça.




Conclusion.

Au lieu de financer ces associations avec vos adhésions qui donneront plus de force aux banques,

rejoignez l'APLOMB. C'est gratuits et ils ont toutes les compétences que les autres n'ont pas.


www.aplombfrance.fr





















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